Quatre chansons de Céline Dion ont été choisies pour accompagner les funérailles nationales de René Angélil à la basilique Notre-Dame, à Montréal, vendredi. C’est la chanson «Pour que tu m’aimes encore», écrite et composée par Jean-Jacques Goldman, qui a joué dans la basilique Notre-Dame au moment de la sortie du cercueil de René Angélil.
Ce méga succès tiré de l’album «D’eux», qui demeure l’opus francophone le plus vendu de tous les temps, est l’un des plus connus des anglophones. Cette pièce a été livrée des centaines de fois par Céline sur la scène au Colosseum de Las Vegas, à partir de 2003. Dans l’un des couplets, on entend: «J'irai chercher ton cœur si tu l´emportes ailleurs; Même si dans tes danses d´autres dansent tes heures; J'irai chercher ton âme dans les froids dans les flammes; Je te jetterai des sorts pour que tu m´aimes encore; Pour que tu m'aimes encore».
Les derniers adieux de Céline à l'homme de sa vie
De nombreuses personnalités publiques ont rendu un dernier hommage à René Angélil, vendredi après-midi, à la basilique Notre-Dame de Montréal, à l’occasion des funérailles nationales du mari et imprésario de Céline Dion. À l’image de l’homme, qui a été le complice de la chanteuse ces 35 dernières années, la cérémonie présidée par Mgr Christian Lépine, archevêque de Montréal, a été à la fois touchante, sobre et empreinte d’émotions. Elle soulignait aussi les origines syrienne et libanaise de René Angélil, né dans le quartier Villeray, à Montréal, le 16 janvier 1942. Le lieu de culte emblématique du Vieux-Montréal était rempli à pleine capacité et de nombreux curieux ont pu suivre le déroulement à la télévision, sur internet et à l’extérieur, grâce à un écran géant donnant sur la place d’Armes. Céline Dion a fait son entrée en tenant par la main ses deux jeunes jumeaux, Nelson et Eddy, suivie par René-Charles, son fils aîné, qui avait à son bras Thérèse Dion, la mère de la diva québécoise.
Salut Champion
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